Foire aux questions (FAQ)

• 1000 fois moins nocif que les cigarettes classiques
• Jusqu’à 80% d’économies sur votre budget cigarettes
• Pas de mauvaises odeurs, ni de cendriers, ni de risques d’incendies
• La même sensation de plaisir sans nuire à votre entourage

L’usage d’une cigarette électronique est bien moins nocif pour la santé que la cigarette ordinaire. Il n’y a pas de combustion contrairement à la cigarette dont la fumée contient plus de 4000 substances chimiques dont plus de 100 très toxiques comme le monoxyde de carbone, le goudron, l’arsenic, l’ammoniac…

Une étude complète menée par des scientifiques de la Boston University School of Public Health (BUSPH) a confirmé que la cigarette électronique est 1000 fois moins nocive que les cigarettes classiques. Parmi les autres conclusions, les auteurs soulignent que les cigarettes électroniques sont particulièrement efficaces pour supprimer l’envie de fumer. Cette étude qui a prouvé l’innocuité et l’efficacité des cigarettes électroniques a été publiée dans le «Journal of Public Health Policy».

Une autre étude de Public Health England, un organisme affilié au Ministère de la Santé de Grande-Bretagne, a publié également des résultats en faveur de l’utilisation de la cigarette électronique. La cigarette électronique serait 95% moins dangereuse pour la santé que le tabac, et les très faibles dégagements de nicotine ne comporteraient pas de risque pour les «vapoteurs passifs».

De nombreuses nouvelles études scientifiques ont depuis confirmé ces deux exemples. FAQ

Il s’agit de la Date Limite d’Utilisation Optimale ou Date de Durabilité Minimale, qui se situe entre 1 à 2 ans après la date de fabrication. L’utilisation d’un e-liquide au-delà de cette date n’est pas dangereuse pour la santé, mais ses qualités gustatives risquent d’être altérées.

Ce taux indique les proportions de :

• Propylène Glycol (PG) : exhausteur de saveurs qui favorise le « hit » et fluidifie le e-liquide
• Glycérine végétale (VG) : favorise le volume de vapeur et épaissit le e-liquide

Les taux de Glycérine Végétale élevés (plus de 60%) nécessitent l’utilisation d’un matériel adapté.

Gardez vos e-liquides à l’abri de la lumière et dans l’idéal à une température comprise entre 15 à 20 °C. Refermez bien vos flacons après utilisation (ils sont munis d’une sécurité enfant) et conservez-les hors de portée des enfants et des animaux de compagnie.

Bien que nos e-liquides soient tous dosés en dessous de 2% de nicotine, il est important de respecter un maximum de précautions d’usage car la nicotine peut être dangereuse.

• Respecter les précautions d’emploi.
• Conserver sous clé et hors de portée des enfants.
• Réservé aux plus de 18 ans.
• Ne pas avaler.

80% des Français pensent à tort que la nicotine est cancérigène. La molécule de nicotine en elle-même ne présente aucun danger et n’est absolument pas cancérigène. En revanche la nicotine contenue dans les cigarettes « classiques » est très rapidement diffusée par voie artérielle et provoque chez les fumeurs un effet de boost cérébral au bout de 30 secondes environ. Cela provoque alors des sensations de plaisir, entretenant la dépendance. Dans les e-liquides, la nicotine contenue est spécifiquement dosée et diffuse beaucoup plus progressivement, la dépendance est alors moindre que dans le tabac fumé.

Un pod est une e-cig tout-en-un dont le format est réduit au maximum, ce qui en fait le compagnon discret et efficace à emmener partout avec soi. Il peut être utilisé comme matériel principal ou comme e-cig d’appoint, notamment avec des taux de nicotine élevés. Il est particulièrement adapté aux sels de nicotine.

Nos kits contiennent tout ce dont vous avez besoin pour commencer à vaper, hormis le e-liquide. Vous n’avez plus qu’à choisir votre e-liquide avec un dosage de nicotine adapté et la saveur qui vous convient. Les liquides aux sels de nicotine sont particulièrement adaptés aux pods.

Vous avez besoin d’un dosage de nicotine élevé mais vous trouvez que le hit de votre e-liquide classique est trop puissant ? Les sels de nicotine sont tout indiqués. Ils vous permettent de conserver le dosage de nicotine dont vous avez besoin en produisant un hit beaucoup plus doux.

Pour obtenir des bouffées satisfaisantes, agréables et produisant un bon volume de vapeur, il faut aspirer de façon douce et prolongée. Maintenez le bouton appuyé pendant toute la durée de votre inhalation.

Le critère le plus important est l’autonomie de la batterie exprimée en mAh ; plus elle est élevée, moins vous aurez besoin de la recharger souvent. A titre indicatif, préférez un kit avec une batterie de 650 mAh ou plus si vous fumez 10 cigarettes par jour, 1500 mAh ou plus si vous en fumez 20. Le design a également son importance : format tube ou box, à vous de choisir selon votre préférence.

Pour maintenir les performances de votre kit, veillez à nettoyer régulièrement les connexions et les pas de vis de votre matériel à l’aide d’un mouchoir. Il en va de même pour l’embout par lequel vous aspirez (drip tip) par simple mesure d’hygiène. Le réservoir (clearomiseur) peut également être nettoyé après en avoir ôté la résistance.

Une cartouche est un élément amovible de votre e-cig (généralement un Pod) qui comprend le réservoir de e-liquide et la résistance. Selon les modèles, la résistance est solidaire du réservoir ou au contraire elle est indépendante et démontable.

Votre résistance a une durée de vie généralement comprise entre 2 et 5 semaines. Lorsque votre liquide devient plus foncé, que son goût se détériore, que le volume de vapeur diminue, il est temps de changer votre résistance (ou votre cartouche). On peut améliorer sa durée de vie en respectant quelques règles : remplir le réservoir avant qu’il ne soit vide, faire une pose de quelques secondes entre chaque bouffée et verrouiller sa batterie/box pendant le transport.

Votre clearomiseur accepte différentes résistances et vous hésitez à choisir ? Vérifiez tout d’abord que la plage de puissance d’utilisation indiquée sur la résistance (en W) est adaptée à votre batterie, votre box. Choisissez ensuite la résistance qui convient à votre utilisation :

• Tirage serré (MTL), proche d’une cigarette, à valeur plutôt élevée en ohms (> 0,8 ohms)
• Tirage aérien (DL) pour un plus gros volume de vapeur, à valeur basse en ohms et nécessitant plus de puissance

Lorsque l’on installe une résistance neuve (ou une cartouche), il est important de bien la saturer de liquide avant de commencer à vaper. C’est ce qu’ on appelle amorcer une résistance. La façon la plus simple de le faire est de remplir le réservoir, d’attendre environ 10 minutes puis de faire d’abord de petites bouffées pour s’assurer que la résistance est bien amorcée. La façon la plus efficace est d’imbiber soi-même la résistance avec quelques gouttes de e-liquides.

Ce goût désagréable survient quand la mèche de votre résistance, souvent constituée de coton, est chauffée alors qu’elle n’est pas suffisamment imprégnée de liquide. Il est alors probable que vous deviez la remplacer.

L’élément déterminant pour choisir une batterie adaptée à vos besoins est son autonomie, exprimée en mAh (milliampères-heure). Plus cette valeur est élevée, moins vous aurez besoin de recharger votre batterie souvent. Il convient également de choisir votre batterie en fonction du clearomiseur que vous souhaitez utiliser (puissance adaptée, critères esthétiques…).

Une batterie dont la puissance (watts) et/ou la tension (volts) sont réglables vous permet d’adapter votre vape à vos envies. En augmentant ces paramètres, vous obtiendrez un volume de vapeur et un hit plus importants. En les diminuant, ce sera l’inverse. Veillez toutefois à ne pas dépasser les valeurs maximum généralement inscrites sur la résistance de votre clearomiseur.

Une batterie dispose la plupart du temps d’une fonction de mise hors tension ou de verrouillage. Il faut donc bien vérifier que votre batterie est en marche. Sur de nombreux modèles, il suffit d’appuyer rapidement plusieurs fois sur le bouton (généralement 3 ou 5 fois). Vérifiez également que votre batterie est bien chargée.

Comme pour toute pile ou accumulateur, une batterie a une durée de vie. En moyenne, celle-ci est de 300 cycles de charge, et l’autonomie de votre batterie diminuera légèrement à chaque rechargement. Lorsque cette autonomie devient trop faible pour votre utilisation, il vous faudra remplacer votre batterie.

Il existe 3 grandes catégories de clearomiseurs :

• Clearomiseurs à inhalation indirecte (MTL = Mouth To Lung), qui conviennent parfaitement aux débutants car ils donnent une sensation similaire à une cig.
• Clearomiseurs à inhalation directe (DL= Direct to Lung), qui va convenir à ceux qui ont réussi leur sevrage tabagique et qui souhaitent un gros volume de vapeur.
• Une 3ème catégorie va permettre d’alterner entre les 2 techniques d’inhalation selon la résistance utilisée.

Il est important de recharger son clearomiseur en e-liquide avant qu’il ne soit vide afin d’éviter d’endommager la résistance. Selon le clearomiseur, le remplissage se fait par le haut (après avoir dévissé le bouchon supérieur) ou par le bas (après avoir dévissé l’embase). Dans tous les cas, il faut éviter de mettre du liquide dans la cheminée centrale par laquelle l’air inspiré passe.

Ne serait-ce que par mesure d’hygiène, il est bon de démonter régulièrement votre clearomiseur, hors résistance, et de le nettoyer à l’eau chaude. Veillez à bien le sécher à l’aide de papier absorbant avant de le remettre en service.

Vérifiez tout d’abord que votre liquide est bien adapté à votre clearomiseur. Assurez-vous ensuite que les joints de votre clearomiseur sont en place et ne sont pas endommagés et que toutes les pièces sont correctement vissées. Un tirage trop fort, une résistance encrassée ou un mauvais réglage de l’appareil peut également provoquer des fuites.

Le terme «MOD» est l’abréviation de «modifié», utilisé pour «cigarette électronique modifiée».
Il se décline principalement sous forme de tube ou de boîtier (Box). Un mod fonctionne généralement avec des accumulateurs (accus), amovibles, interchangeables et rechargeables ou peut au contraire être intégrée. Son autonomie est généralement plus importante que celle d’une e-cig. Quelle que soit sa forme, tube, box ou e-pipe, un mod peut être mécanique ou électronique…

Un Mod/Box mécanique a pour caractéristique de ne pas embarquer d’électronique ! Il ne risque donc pas de tomber en panne. Très simple d’utilisation, il procure une vape de qualité. L’utilisation d’un Mod /Box méca est réservée à un public initié.

Un Mod/Box électronique comprend un module électronique (chipset) qui vous apporte différentes fonctions, comme la gestion de la puissance, le contrôle de température… Il vous permet généralement d’avoir accès à des informations via un écran (niveau de charge des batteries, valeur de la résistance…), tout en offrant le maximum de sécurité.

Outre l’esthétique, l’autonomie et la puissance sont les 2 critères principaux à considérer. Une box à accus amovibles vous permet d’accroître l’autonomie en ayant plusieurs jeux d’accus que vous chargez via un chargeur dédié. Une box à batterie intégrée se chargera quant à elle par port Usb.

Si votre but est de produire un très gros volume de vapeur, choisissez une box qui peut délivrer des puissances élevées.

• Mods/box semi régulés : variantes de box/mods mécaniques qui incorporent un régulateur de tension et/ou un système de protection supplémentaire (fusible, mosfet…).
• Mods/box hybrides : l’accu entre en contact direct avec le clearomiseur, sans passer par un plot de connexion, assurant une conductivité optimale.
• Box Bottom Feeder (BF) : elles intègrent une fiole de e-liquide qui alimente un atomiseur compatible BF via un plot de connexion creux.

De nombreux Mods/boxs fonctionnent avec une batterie amovible et rechargeable, généralement disponible séparément. Cet accumulateur (appelé communément Accu) est spécialement conçu pour une utilisation avec du matériel de vape. Les modèles, variés, doivent correspondre au format de votre mod/box. Le format d’un accu est caractérisé par un nombre qui précise respectivement son diamètre, sa longueur, et sa forme. Par exemple, un accu 18650 fait 18 mm de diamètre, 65 mm de longueur et a une forme cylindrique.

Vous devez tout d’abord choisir des accus dont le format est compatible avec votre Box. Chaque accu a une capacité exprimée en mAh : plus cette valeur est élevée, plus l’autonomie de l’accu est importante. Si vous vapez sur un Mod mécanique avec une résistance très basse ou à haute puissance sur une box électronique, la caractéristique importante est le CDM (Courant de Décharge Maximum) de votre accu. Choisissez un CDM élevé pour vaper en sécurité.

Pour recharger les accus, la meilleure des options est de s’équiper d’un chargeur. Accessoire dédié à la recharge des accus de vape, ces chargeurs sont de plus en plus « intelligents » : ils détectent automatiquement le modèle de l’accu et lui garantissent une meilleure durée de vie grâce à des fonctions spécifiques (arrêt auto, sélection du type de charge…). Ce mode de rechargement est à privilégier par rapport à l’Usb des box qu’il vaut mieux n’utiliser qu’en dépannage.

Même si elle va beaucoup dépendre de l’utilisation que vous en faites, vous allez pouvoir effectuer entre 300 et 500 cycles de charge. Si vous constatez que votre accu chauffe et/ou que son autonomie a considérablement réduit, il est temps de le changer. Lorsque son enveloppe externe est détériorée, qu’il a subi un choc ou que sa partie métallique est oxydée, un accu ne doit plus être utilisé. Ne le jetez pas, mais recyclez-le.

• Tous les accus peuvent exploser ou imploser s’ils sont utilisés de manière incorrecte ou maltraités, même avec un accu certifié UL !
• Ne rangez pas vos accus dans une poche, un sac à main ou avec d’autres objets métalliques pour éviter les court-circuits !
• Ne pas démonter, perforer, couper, écraser, court-circuiter, incinérer ou exposer à l’eau, au feu ou à une température élevée au-dessus de 100°C ou 212°F !
• Ne retirez pas les protections en plastique étanche présentes sur les plots de contact.
• N’utilisez pas votre accu si son revêtement (gaine thermo ou « wrap ») est endommagé.
• Protégez toujours vos accus supplémentaires à l’aide de boîtes ou d’étuis silicones prévus à cet effet.

Il s’agit d’un dispositif de vapotage pour lequel il est nécessaire de confectionner soi-même les résistances, avec des consommables et outils dédiés, afin de les adapter au mieux à ses goûts. Longtemps réservés aux vapoteurs expérimentés, les atos reconstructibles deviennent de plus en plus aisés à prendre en main, d’autant plus que des résistances « prêtes à monter » existent désormais. Deux grandes familles coexistent : les atomiseurs tank et les drippers.

• Un Atomiseur à réservoir (communément appelé Ato Tank, RTA qui signifie Rebuildable Tank Atomizer ou RDTA qui signifie Rebuildable Dripping Tank Atomizer) désigne un atomiseur reconstructible doté d’une réserve de e-liquide. On peut le remplir à tout moment, en fonction de sa consommation. Sa contenance peut varier d’une très faible quantité de moins de 1ml sur les plus petits modèles à un réservoir pouvant contenir 10 ml et plus sur des RTA grand format.

Un Dripper (aussi appelé RDA qui signifie Rebuildable Dripping Atomizer) désigne un atomiseur reconstructible dépourvu de réservoir (certains drippers ont cependant une cuve qui contiendra une petite quantité d’e-liquide). L’alimentation en e-liquide s’effectue en versant quelques gouttes d’e-liquide par le haut directement sur le coil, ou en bottom feeder en faisant remonter les liquide au travers du dripper à l’aide d’une fiole située dans une box BF (Bottom feeder).

L’utilisation d’un ato reconstructible avec un mod, mécanique ou électronique, est destinée aux vapoteurs confirmés. Les conseils d’une personne qualifiée vous permettront de débuter dans le reconstructible en toute sécurité, aussi n’hésitez pas à vous rendre dans une boutique Cigaverte avec votre ato pour demander des conseils et faire votre 1er montage de coil en présence d’un expert.
Avant toute utilisation de votre atomiseur reconstructible sur un mod, veillez à vérifier la bonne réalisation de votre résistance à l’aide d’un ohmmètre.

• Le DIY consiste à fabriquer soi-même son liquide plutôt que de l’acheter tout prêt. Cela permet de choisir sa base, son taux de nicotine et ses arômes afin d’obtenir un e-liquide personnalisé et adapté à vos goûts. Le DIY vous permet de maîtriser la composition de vos e-liquides tout en réalisant des économies.

• De base et de boosters de nicotine : 75 à 95 % de votre mélange final.
• D’arômes concentrés : 5 à 25 % de votre mélange final selon leur puissance. Le pourcentage d’arômes préconisé est généralement inscrit sur la fiole.
• De matériel annexe tel que des fioles vides, des seringues et du matériel de protection

Une fois les ingrédients réunis, veillez à bien les mélanger en secouant énergiquement votre fiole. Une phase de maturation (steeping) plus ou moins longue est ensuite nécessaire pour que votre e-liquide développe toutes ses qualités gustatives. Cela peut aller de 24h à plusieurs semaines selon les arômes et la quantité de glycérine végétale de votre e-liquide.

La manipulation de nicotine nécessite de prendre des précautions, surtout à forte concentration : utilisez des gants et portez des lunettes de protection. En cas de contact avec la peau, rincez abondamment à l’eau. Les arômes ne doivent jamais être utilisés seuls, mais toujours dilués en petite quantité dans une base.